Nantes (2)
Le salon " Pour l'amour du fil" est essentiellement dédié au patchwork, quiltmania en étant l'organisateur.
Pas de grande nouveauté par rapport à l'Aiguille en fête de¨Paris et un espace créateur petit vu la place prise par les Dear Jane.
Une nouvelle vague s'installe vraiment, le patchwork et appliqué sur laine, très country, coloré et assez simple de confection.
Nathalie Cichon créatrice brodeuse de "Jardin privé" a, le temps du salon, laissé les croix pour aider son époux dans sa nouvelle activité : le jardin de Woolens.
Ils proposaient des kit de démarrage tout en précisant que l'on devenait vite "addict" !!!
Les tissus de lainage sont aussi chers voir plus que les tissus de patchwork et il faut aimer le style.
Je me suis seulement dit que faire un Dear Jane en lainage, tout en appliqué pourrait être très sympa mais je n'ose imaginer le budget final d'un tel travail.
Cessons de rêver, il n'y a plus de place pour les futurs projets avant 2 ans !!! (minimum )
Ségolaine Schweitzer proposait des ateliers, et, une petite expo de ses oeuvres m'a vraiment plue mais j'ai omis d'acheter son livre.
Simple - efficace - Joli ... j'aime.
Broderie ruban ...
Pour celle qui aime les ânes mais un rien encombrant !!! , une oeuvre (de patience) de Barbara Keal ( à l'arrière de la photo)qui se coiffe de têtes d'animaux qu'elle fabrique avec la laine de mouton feutrée. Un univers tant fantastique que réel .
Et si on sortait, trop de monde, légère saturation.
Le Château des Ducs de Bretagne.
Pour ne pas vous mentir visite à 8h30, tout est calme juste quelques promeneurs et leur chien, des canes avec leurs canetons et un beau soleil.
Vous me croirez ou pas, l'après-midi vers 18h (grâce aux 25° ambiants) il n'y avait plus moyen d'allonger un être humain, la plage sur les pelouses !!! seules les canes s'inquiétaient pour leurs petits.
Si vous connaissez le nom de cet arbre, merci de me le transmettre.
Grand comme un marronnier, douce odeur des fleurs, une merveille.
Et en attendant l'heure d'ouverture du salon, je termine ma lecture entamée dans le TGV.
En 1187, le jour de son mariage, Esclarmonde refuse de dire "oui". Elle s'offre à Dieu et exige de vivre emmurée jusqu'à sa mort, elle ne connaitra pourtant pas la solitude...
Et ce banc-table est tellement romantique et agréable face au chateau que la lecture fut un réel plaisir (et toujours pas de promeneur !!).
On verra demain un site qui m'a enchantée "Les machines de l'île"
On redevient enfant en voyant cela...